Monday, December 7, 2009

1966 Rolling Stones

Je suis l'ange de la mort, perché sur la crâne des mécontents. Je me nourris sur la désespoir et la folie de la condition humaine. Je suis partout et je suis nulle par. Me voit dans le miroire, parce que vous ne me faites pas d'attention dans l'éspace réel. Toutes les cauchesmares et les voix invisibles sont des maniféstations de ma douleur, de mon éxistence. Ma parole c'est silent, mais elle dérange les plus fort des ésprits, immobilise les plus forts des hommes. La mort, c'est un fait, et moi, son noble servant, obéissant, terrifiant. La chaire pourrie des ripoux me semble un canard rôti, le sang des violents d'un Bordeaux éxtravagant. Vous-vous croyez digne de me regarder aux yeux? Alors, vous êtes courageux, parce que mes yeux sont la porte de l'enfer, et le regard la scythe de la mort elle-même. De me connaître, c'est de connaître le désastrre et la catastrophe, de goûter la nile de la haîne. En verité. personne me connait, il ne peuvent pas, je suis l'homme qui force des autres à traverser la rue. Je suis la solitude vue par les suicides, je suis la feu des maniacs de pyro. Des kleptos essayent de me voler, mais tous qu'ils peuvent voler, c'est leurs âmes. La condition humaine c'est d'éviter la mort, de m'ignorer, mais sans la mort, on n'est pas humain, on est sur-naturel. Donc, je suis la condition humaine.

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